Fessée au collège

Catégories : Hommes fessés
il y a 9 ans

Lorsque j'avais 14 ans j'étais scolarisé dans une institution privée et mes parents m'y avaient mis pensionnaire bien que nous n'habitions pas très loin (15 km environ) pour m'éviter des trajets en car scolaire auxquels ils attribuaient, pour une part, mes mauvais résultats scolaires. Cette année-là je redoublais ma quatrième. Il y avait un surveillant qui s'occupait plus particulièrement des internes. Il avait une chambre-bureau à proximité du dortoir.

Ce surveillant avait une trentaine d'années, célibataire, il n'était pas très grand mais assez râblé, brun, barbu. Plutôt sympathique d'ailleurs, bien qu'ayant parfois mauvais caractère. Ce que je ne tardais pas à remarquer c'est qu'il avait un goût prononcé pour les châtiments corporels car il en parlait souvent, nous disant volontiers, en plaisantant plus ou moins, que nous mériterions une bonne fessée. Un jour j'appris qu'il donnait effectivement la fessée à plusieurs garçons. J'étais avec un de mes camarades de classe qui avait le même âge que moi, Xavier, et ce surveillant lui dit en ma présence "Attention ! Si tu continues ce sera comme pour ton frère".

Ce à quoi Xavier répondit en haussant les épaules : "Oh, moi ça ne me fait aucun effet". Je l'interrogeais un peu après pour savoir de quoi il s'agissait et il m'expliqua que lui et son frère, Bertrand, qui avait 12 ans, vivaient seuls avec leur mère et que celle-ci avait du mal à se faire obéir d'eux. Un jour qu'elle s'en était plainte à ce surveillant à l'occasion d'une réunion de parents d'élèves, il lui avait répondu : "ce dont ils auraient besoin, c'est de l'autorité d'un homme et d'une bonne fessée déculottée de temps en temps. Si vous m'y autorisez je veux bien m'en charger".

Or leur mère s'était empressée d'accepter cette offre et depuis Bertrand avait plusieurs fois été convoqué dans la chambre de ce surveillant (il s'appelait M. Boulanger) pour y recevoir la fessée cul nu. En entendant ce récit je tremblais d'émotion et je me rendis compte que j'avais follement envie de me retrouver à la place de Bertrand, à plat ventre sur les genoux de M. Boulanger. Mais comment faire ?

Je ne pouvais évidemment pas suggérer à mes parents de donner la même autorisation à M. Boulanger, j'aurais eu trop honte. Je m'arrangeais alors pour lui faire comprendre qu'il n'avait aucun besoin d'autorisation pour me fesser. Un jour où j'avais mal travaillé et où il me fit remarquer, selon son habitude, que j'aurais besoin d'une bonne correction, je lui répondis qu'en effet, si mon père avait été là, il m'aurait administré une fameuse raclée, en dépit de mes 14 ans. Il me dit alors : "Eh, bien puisque tu reconnais que tu l'as méritée, viens dans mon bureau après l'étude du soir. Nous réglerons nos comptes".

Naturellement je lui obéis. Quand je frappai à sa porte il était installé derrière son bureau. Il déplaça sa chaise, la mit entre le bureau et le lit, et me fit signe d'approcher. Après m'avoir fait répéter que je reconnaissais avoir mérité une bonne fessée, il m'ordonna de baisser mon pantalon et mon slip. Je me déculottai en tremblant, partagé entre le désir et la crainte. Il me saisit le bras et m'allongea en travers de ses cuisses, puis il entrepris de me claquer les fesses nues, modérément d'abord, puis de plus en plus fort. Pendant qu'il me fessait de la main droite, il glissa sa main gauche sous mon ventre et pris ma verge entre ses doigts. J'eus instantanément une érection.

Il fit comme si de rien n'était et continua de me faire rougir les fesses, claquant de plus en plus fort, tout en caressant doucement mon sexe durci de la main droite. Après cette fessée qui dura un bon moment, j'allai me laver les dents et me coucher avec les autres au dortoir et je m'endormis, tout excité, en y repensant et en espérant que j'en recevrais beaucoup d'autres.

Quelques mois plus tard, pendant l'été, j'allai dans un camp de vacances organisé par l'école et dont ce même surveillant était le directeur. Un soir au dortoir j'étais particulièrement excité et je chahutais beaucoup. Il m'a alors menacé d'une fessée cul nu. J'étais allongé à plat ventre sur mon lit en pyjama. En l'entendant mon chef d'équipe (nous étions divisés en "équipes" avec un chef qui était l'un d'entre nous) baissa mon pantalon de pyjama et, tout en me maintenant les chevilles lui dit : "Allez-y, Monsieur !"

Et lui s'exécuta bien volontiers : il m'appliqua une quinzaine de fortes claques sur les fesses nues devant tous les copains qui rigolaient. Ce fut ma première fessée publique, car les précédentes avaient eu lieu dans son bureau en tête-à-tête. Mais c'était dans une atmosphère  plutôt "bon e n f a n t". C'est plus tard, dans d'autres circonstances, que je reçus une fessée publique infiniment plus humiliante.

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